“Sculpteur et céramiste Daniel Pontoreau travaille autant de petits que de très grands formats et convoque tous les matériaux modelables : terre, fonte, acier, caoutchouc. Sa maitrise de la céramique (faïence, grès, porcelaine) lui permet de réaliser des œuvres monumentales d’importance. Ses filiations sont nombreuses, il est contemporains de la seconde génération de l’Arte Povera et de la Jeune sculpture Anglaise qui sont pour lui des références, auxquelles il faudrait ajouter nombre d’artistes, d’Andrea della Robbia à Morandi et Giacometti jusqu’à Denis Oppenheim, Robert Smithson, John Mason, Norbert Prangenberg, Gutaï, et bien d’autres. Il en résulte cependant de par ses techniques, l’empreinte d’un univers sculptural singulier et unique dans le champ de la sculpture contemporaine. Hormis ses multiples expositions en Europe, il est souvent exposé au Japon où travail entre particulièrement en résonnance avec les jardins et l’architecture. Il travaille d’ailleurs régulièrement avec des architectes et des paysagistes dans des projets et des réalisations communes. Il a obtenu en 2018 la médaille des Arts de l’Académie d’Architecture. Infatigable voyageur, il a autant exploré le continent américain, que l’Afrique noire, le Maghreb, l’Asie, l’Inde. S’il fallait aujourd’hui définir de nouvelles destinations, ce serait vers le champ de l’astrophysique, l’infini de l’espace.” — Luc Lang, mars 2019

“Sculpteur et céramiste Daniel Pontoreau travaille autant de petits que de très grands formats et convoque tous les matériaux modelables : terre, fonte, acier, caoutchouc. Sa maitrise de la céramique (faïence, grès, porcelaine) lui permet de réaliser des œuvres monumentales d’importance. Ses filiations sont nombreuses, il est contemporains de la seconde génération de l’Arte Povera et de la Jeune sculpture Anglaise qui sont pour lui des références, auxquelles il faudrait ajouter nombre d’artistes, d’Andrea della Robbia à Morandi et Giacometti jusqu’à Denis Oppenheim, Robert Smithson, John Mason, Norbert Prangenberg, Gutaï, et bien d’autres. Il en résulte cependant de par ses techniques, l’empreinte d’un univers sculptural singulier et unique dans le champ de la sculpture contemporaine. Hormis ses multiples expositions en Europe, il est souvent exposé au Japon où travail entre particulièrement en résonnance avec les jardins et l’architecture. Il travaille d’ailleurs régulièrement avec des architectes et des paysagistes dans des projets et des réalisations communes. Il a obtenu en 2018 la médaille des Arts de l’Académie d’Architecture. Infatigable voyageur, il a autant exploré le continent américain, que l’Afrique noire, le Maghreb, l’Asie, l’Inde. S’il fallait aujourd’hui définir de nouvelles destinations, ce serait vers le champ de l’astrophysique, l’infini de l’espace.” — Luc Lang, mars 2019